Genève Israël
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Genève Israël
לכל מקום שאליוֹ אני הולך ,אני הולך לארץ ישראל
Où que j'aille, je me dirige vers la terre d'Israël.
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Car l'Éternel a choisi Sion; il l'a désirée pour être son habitation:
C'est ici mon repos à perpétuité; ici j'habiterai, car je l'ai désirée. (Ps 132.13)

Tzipi Hotovely: « Il est important de dire que cette terre est la nôtre »


mai 24, 201515
La jeune ministre adjointe aux Affaires étrangères, Tzipi Hotovely, vient de faire une entrée remarquée à la Knesset.
Dans un discours inaugural qu’elle a prononcé devant l’assemblée, la ministre s’est exprimée sur le droit d’Israël à sa Terre.
S’appuyant sur des textes du Tanakh (Bible) Hotovely a refusé toute justification de l’État hébreu déclarant :
« Cette Terre est la nôtre, entièrement nôtre et nous n’avons pas à présenter ici d’excuses pour cela».
Continuant son discours en anglais, la jeune ministre qui est aussi chef de la diplomatie a promis de tout faire pour faire
reconnaître au monde le « droit d’Israël à construire des maisons partout, chez lui »

Abbas : “aucun lieu saint appartient à Israël”

En 10 points et diaporama


18.09.2015
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a critiqué mercredi Israël pour sa gestion de la dernière ronde de la violence
sur le site et a rappelé qu’“aucun des lieux saints de Jérusalem appartient à Israël."
"Ils sont tous à nous et nous ne les laisserons pas les profaner avec leurs pieds sales," a-t-il dit lors d'une visite à Jérusalem tôt
dans la journée. "Nous allons protéger Jérusalem et allons protéger nos lieux saints chrétiens et musulmans.
Nous ne quitterons pas notre patrie. Nous garderons chaque atome de la terre dans ce pays."
Abbas a salué les fidèles musulmans qui harcèlent les visiteurs juifs au Mont du Temple. "Chaque goutte de sang qui a été répandu à
Jérusalem est pure tant qu'elle est pour l'amour d'Allah. Chaque 'shahid' (martyr) sera dans le ciel et chaque personne blessée
sera récompensée, par la volonté d'Allah ", a-t-il ajouté

Lettre de David Ben Gourion au Général de Gaulle : 6 décembre 1967


Version pdf de la lettre


Informations

Le ministre de l'Extérieur Didier Burkhalter rencontre Benjamin Netanyahu

Suisse-Israel


















Dans mon journal Jerusalem Post Ivrit du mois de Av 5773 ou Juillet 2013, j'ai eu la joie
de voir l'article suivant :

Voici la traduction de l'article.

Le ministre de l'Extérieur de la Suisse, Didier Bourkhalter, a rendu visite à Israël.
Il a dit au premier ministre Benjamin Netanyu, en hébreu : "ani saméa'h lihiot bé Israël"
"Je suis content d'être en Israël".
Il a dit que jusqu'à présent, les relations politiques entre la Suisse et Israël étaient limitées,
mais maintenant la Suisse veut renforcer les liens poitiques avec l'Etat d'Israël.


David et Goliath dans l’arène de la politique internationale

Allocution du 1er août 2013 du Président de la Confédération Suisse Ueli Maurer


31.07.2013
Chères concitoyennes, chers concitoyens,
Mesdames, Messieurs,
Nous célébrons aujourd'hui l'anniversaire de la Suisses. C'est un jour de fête.
Nous vivons dans un beau pays.
Nous vivons dans la prospérité.
Nous vivons libres.
Pour nous, la vie est belle - je ne veux pas dire seulement aujourd'hui, installés tous ensemble devant une saucisse et une bière ! - mais très généralement : la Suisse se porte bien.
Et ce, dans une période où de nombreux pays vont malheureusement de plus en plus mal. Même des pays tout proches.
Nous ne voulons pas faire de triomphalisme. Mais nous pouvons être fiers des réalisations de notre petit pays.
Certes, tout n'est pas rose. Pour nous aussi, les nuages s'amoncellent. Ces derniers temps, la Suisse a subi des critiques répétées. Elle a été soumise au chantage. Certains grands pays et quelques organisations internationales ne cessent de vouloir nous dire ce que nous avons à faire.
Nombreux sont donc en Suisse ceux qui ne voient qu'une seule issue : céder et s'adapter.
Dans ce contexte, je ne manque jamais d'évoquer l'histoire de David et de Goliath.
Ce récit mémorable nous indique en effet qu'il existe une autre possibilité :
Les Hébreux et les Philistins sont en guerre. David est un jeune berger. Ses frères servent dans l'armée. Le voilà chargé de les ravitailler. Lorsque David rejoint la troupe, les armées ennemies se font face.
Soudain, le Philistin Goliath sort des rangs. Il défie le meilleur des guerriers hébreux au combat singulier.
Tous perdent courage. Goliath est en effet un géant. Il est d'une force impressionnante : il porte les meilleures armes et la meilleure cuirasse.
David a beau être petit, il ne supporte pas l'humiliation faite à son peuple. Il se déclare volontaire pour le combat singulier.
Les soldats tentent d'abord de l'en dissuader : David n'a jamais porté d'arme. Il n'a que sa fronde, dont il se sert pour protéger ses brebis contre les bêtes féroces.
David veut néanmoins se battre au nom de son peuple. Les soldats lui apportent une cuirasse et une épée. Mais David trouve cet équipement trop lourd. Pour finir, il ne prend que sa fronde pour se battre avec Goliath.
Goliath se moque de lui. David, pourtant, sans s'approcher davantage l'atteint d'une pierre en plein front et remporte le combat !
Nous devons donner un sens symbolique à ce récit tiré de la Bible. Nous y trouvons alors un message important concernant la vie, la politique et la société.
Il ne s'agit pas seulement de combat et de guerre. Il s'agit d'un mode de survie pour tous ceux qui ne peuvent compter ni sur leur taille, ni sur leur force.
Les enseignements à tirer de l'histoire de David et de Goliath sont au nombre de trois et ils sont toujours d'actualité.

Premièrement: Ce qui est grand nous impressionne.
Deuxièmement : Ce qui est petit n'est pas forcément sans valeur.
Troisièmement : À défaut d'être fort, il faut être différent, si on veut survivre.

1. Ce qui est grand nous impressionne
Ce qui est grand nous impressionne. Il en a toujours été ainsi.
Les points forts du texte biblique sont particulièrement révélateurs : Le duel lui-même tient en quelques phrases. D'ailleurs, il ne constitue pas un élément-clé du récit, qui met en avant la crainte qu'inspire la taille.
La formidable apparition de Goliath est donc présentée en détail : Accompagné de son serviteur, Goliath sort du camp des Philistins. C'est un géant - sa taille aurait été de six coudées et un empan, soit environ trois mètres. Son casque, sa cuirasse et son bouclier sont décrits ensuite. La lance aurait eu la longueur d'un arbre.
Goliath veut un combat singulier. Il se dresse face aux troupes des Hébreux et les défie. Tous tremblent.
Saül, le roi des Hébreux, promet de grandes richesses et la main de sa fille à quiconque se portera volontaire. Personne ne se présente (alors même que rien ne permet de penser que la fille du roi ait été particulièrement repoussante).
L'histoire de David est intemporelle, car ce qu'elle raconte, au fond, c'est l'histoire de chacun de nous. Elle raconte aussi notre histoire en tant que peuple. Nous sommes tous les mêmes : Face à ce qui est grand et fort, nous éprouvons en premier lieu ce que les Hébreux ont éprouvé face à Goliath.
Qu'il s'agisse d'épées et de boucliers ou de puissance économique et de listes noires, nous sommes tentés de céder.
Or, l'histoire de David ne se termine pas par une capitulation, mais par une moralité : Qui ne craint ni la puissance, ni la taille de son adversaire peut parfaitement avoir sa chance.
Notre réalité moderne confirme cette sagesse antique.
Nous pouvons reconnaître David dans un grand nombre de PME suisses, capables de s'imposer sur le marché mondial face à des concurrents bien plus gros.
Enfin, nous retrouvons aussi David dans l'histoire de notre pays : la Suisse est un petit État.
Les grands n'ont cessé de nous remettre en question. Malgré tout, nous avons obtenu des succès remarquables. Notre pays peut bien être petit, il est libre. En tant que tel, il aura un avenir aussi longtemps que nous ne nous laisserons pas intimider.

2. Ce qui est petit n'est pas forcément sans valeur
Le deuxième enseignement fourni par l'histoire de David et de Goliath, est que ce qui est petit n'est pas forcément sans valeur.
Mais cette valeur ne saute pas toujours aux yeux. Les petits en effet ne brillent pas du même éclat que les grands. Lorsque David arrive au camp avec les provisions destinées à ses frères il n'est pas vraiment pris au sérieux.
Même les soldats hébreux ne voient en lui qu'un jeune berger, quelqu'un qui ne peut que les gêner. Éliab, frère aîné de David, va jusqu'à se mettre en colère contre lui. Il lui reproche de ne servir à rien, militairement parlant, et d'avoir abandonné ses brebis.
Nous les Suisses, nous connaissons ce genre de reproches : Il paraît que nous serions tous des profiteurs... Depuis le temps qu'on nous accuse de nous précipiter sur les meilleurs morceaux, nous risquons sûrement l'indigestion !
Rappelons-nous pour une fois sans fausse modestie où et comment d'autres profitent de la Suisse :
Il y a, par exemple, le fait que l'économie suisse a investi plus de mille milliards de francs à l'étranger - selon les chiffres fournis par la Banque nationale suisse - dont plus de 40 % ont pris le chemin de l'UE[1].
Les entreprises suisses procurent ainsi quelques trois millions d'emplois à travers le monde (la Suisse non comprise)[2], auxquels s'ajoutent plus de 270'000 frontaliers, qui gagnent leur salaire chez nous[3].
D'après une statistique de la Banque mondiale, plus de trente milliards de dollars sont gagnés chaque année en Suisse par les frontaliers ou transférés dans leur pays d'origine par des immigrés[4].
Plus de 1,1 millions de citoyens de l'UE vivent en Suisse[5] et leur nombre croît de manière fulgurante. Chaque année, des dizaines de milliers de personnes bénéficient de la libre circulation, ce qui pose pour notre petit pays la question de la capacité d'accueil.
À cela s'ajoutent les fortes dépenses des collectivités publiques en faveur des relations internationales : La seule Confédération a inscrit près de 3,3 milliards de francs à son budget pour l'année en cours[6]. Les prestations complémentaires des cantons et des communes ne sont pas incluses dans ce montant.
La Suisse consacre des sommes considérables à sa participation au Fonds monétaire international (FMI). Le risque total maximal encouru par la Suisse du fait des garanties consenties en faveur du FMI s'élève actuellement à près de 24 milliards de francs, soit plus du tiers de notre budget fédéral[7].
En construisant les NLFA, la Suisse consacre plus de 20 milliards de francs au nouvel axe ferroviaire européen nord-sud. La Suisse investit même dans des réseaux de transport à l'étranger. Elle finance notamment à hauteur de 230 millions de francs l'adaptation des gabarits sur la ligne de Luino et sur le tronçon Chiasso - Milan.
La Suisse a déjà versé plus de 1,2 milliard de francs au titre d'une contribution à la réduction des disparités économiques et sociale après l'élargissement de l'UE aux pays de l'Est.
Sa contribution à la recherche et au développement est également importante : D'après un rapport de la Commission européenne, la Suisse est le pays le plus innovant d'Europe[8].
La Suisse s'engage également dans le monde entier en faveur de la paix. Elle propose sa médiation et ses bons offices. Notre pays neutre offre un site idéal pour y établir des organisations internationales et organiser des conférences.
En tant que pays neutre, nous ne sommes jamais partie, mais toujours médiateurs.
Nous fêtons cette année les 150 ans du Comité international de la Croix-Rouge, et c'est à Genève que le CICR a été fondé en 1863. Depuis lors, des humanitaires suisses s'efforcent d'atténuer les souffrances partout dans le monde. La Suisse est également l'État dépositaire des Conventions de Genève de 1949 et de leurs Protocoles additionnels de 1977 et de 2005. Tout cela montrent que l'engagement humanitaire est partie intégrante de notre histoire.
On pourrait rallonger la liste - je veux dire que ces prestations sont tout ce qu'il y a de plus honorable.
Nous ne pouvons toutefois les fournir que parce que nous sommes libres. Si la Suisse n'était - elle aussi - qu'un pays ordinaire au bord de la faillite, elle ne pourrait rien offrir de comparable.
Quant aux reproches formulés à l'encontre de notre pays, je ne vois pas en quoi nous serions des profiteurs, dans nos relations internationales.
Je vois par contre très distinctement les couleuvres et les pilules amères qu'il nous a fallu avaler ces derniers temps.
Pour le dire plus clairement : Nous n'accaparons certainement pas les meilleurs morceaux, mais d'autres grignotent bel et bien notre souveraineté.

3. À défaut d'être fort, il faut être différent, si on veut survivre
Le troisième enseignement qu'on peut tirer de l'histoire de David et de Goliath est peut-être le plus important :
Les Hébreux veulent revêtir David d'une cuirasse pour son combat singulier. La même cuirasse rigide et pesante que portent tous les soldats. Or, David peut à peine bouger, ainsi équipé : Tout est trop lourd, pour lui. Entravé par une cuirasse, le frêle David aurait perdu. Il en est bien conscient et opte donc pour la tunique de berger qui lui est familière.
Ce passage lui aussi doit être compris symboliquement : David a le courage d'être différent. Il mise sur ses propres ressources. C'est ce qui lui vaut sa victoire : les petits ne doivent pas singer les grands.
Voilà une belle leçon de sagesse, dont nous pouvons également tirer profit sur le plan de la politique internationale :
Notre pays est un cas particulier. Il s'est constitué différemment et s'est développé différemment des autres pays. Il a été créé par des citoyens pour des citoyens. Les impulsions principales sont venues et viennent encore du peuple.
Grâce au fédéralisme, nous préservons nos particularités régionales. Grâce à la démocratie directe, la politique ne peut ignorer les demandes du peuple. Grâce au principe de milice, notre État bénéficie à tous les échelons de l'expérience des citoyennes et des citoyens. Enfin, c'est grâce à un ordre politique libéral que notre économie prospère.
Cet ordre politique libéral a fait de la Suisse un des pays les plus riches du monde et c'est précisément cet ordre qui subit aujourd'hui les pressions répétées de certains grands États et de quelques organisations internationales.
Nous devons en être conscients : On ne nous critique pas parce que nous faisons quelque chose de faux. On nous critique parce qu'il y a tant de choses que nous faisons si bien. Parce que nous sommes riches. Parce qu'il y a un gros butin à ramasser chez nous.
On veut nous imposer la reprise d'un nombre croissant d'engagements internationaux. Cette exigence nous empêche de plus en plus d'organiser notre pays comme nous l'entendons.
Pour en revenir à l'image fournie par l'histoire de David : Sous la cuirasse étrangère, David aurait perdu. Et sous un droit étranger et des juges étrangers, la Suisse elle aussi ne pourrait que perdre.

Conclusion
J'en viens au mot de la fin. Comme petit État, il y a trois choses que nous devons garder à l'esprit :

Premièrement : Il ne faut pas nous laisser impressionner par plus grand que nous. De nombreux États puissants se sont déjà constitués avant de s'écrouler. La petite Suisse, elle, continue de bien se porter. Voilà une raison d'être optimiste.

Deuxièmement : Rappelons-nous sans fausse modestie que la petite Suisse fournit aussi une contribution importante sur le plan international. Une contribution économique aussi bien qu'humanitaire. Quiconque cherche à nous donner mauvaise conscience poursuit donc des buts politiques.

Troisièmement : Ne nous laissons pas enfermer dans la même cuirasse pesante qui pèse sur d'autres États. Ces règles internationales ne conviennent pas à notre petit État libéral. Nous y perdrions nos particularités.
Je voudrais soumettre à votre réflexion ces trois enseignements tirés de l'histoire de David et de Goliath.
Nous avons en effet la chance de vivre dans une démocratie directe. En tant que citoyennes et que citoyens, c'est vous qui avez le dernier mot.
Engagez-vous pour notre liberté, notre prospérité, notre patrie !

Les implantations juives sont-elles illégales et un obstacle à la paix ?

En 10 points et diaporama


14.08.2013
Les implantations juives sont-elles illégales et un obstacle à la paix ? En 10 points et diaporama août 14th, 2013 Europe-Israel.org
Les implantations juives sont qualifiées de façon éhontées par les européens de « colonies » en méconnaissance totale du droit International et des résolutions 242 et 338 de l’ONU qui définissent ces territoires libérés par l’armée israélienne en 1967 de l’occupation Jordanienne comme des lignes de cessez le feu entre Israël et… la Jordanie ! Mais en aucun cas entre Israël et une quelconque entité palestinienne qui n’existait pas à l’époque !
Vouloir boycotter les produits issus de ces implantations juives est un non sens juridique au regard du droit international. Les diverses résolutions onusiennes ne définissent aucune frontière entre les belligérants et proposent à ceux-ci de les définir dans un accord de paix. Or les deux belligérants de l’époque, Israël et la Jordanie on conclut un accord de paix, la Jordanie renonçant définitivement à l’occupation de la Judée Samarie (renommée Cisjordanie sous l’occupation jordanienne). Dès lors c’est en toute légitimité que les juifs se sont réinstallés dans ce qui fût le berceau du judaïsme pendant plus de 3000 ans qui n’a été occupé que de 1948 à 1967 par des populations arabes.
La décision de l’Union Européenne et l’appel de certains à boycotter les produits issus de Judée Samarie est une négation historique grave : c’est de toute évidence un signe d’allégeance aux pays islamistes de l’OCI qui refusent l’existence d’un Etat Juif sur sa terre ! L’Europe se soumet au dictât palestinien croyant ainsi caresser les babouches des uns et des autres dans le sens du poil. C’est une erreur stratégique majeure à l’heure où les peuples arabes eux mêmes essayent de se débarrasser des islamistes, à l’heure où les peuples européens commencent à grogner de l’envahissement islamiste…
Un rappel de quelques points sur la légalité des implantations n’est pas inutile pour tous ces politiciens prêts à se vendre pour quelques voix de plus:
Juifs et Arabes [1] ont vécu en Judée-Samarie depuis des siècles.
Aujourd’hui, les Israéliens et l’Autorité palestinienne négocient les frontières d’un possible état arabe au cœur même de la terre ancestrale du Peuple Juif.
 La « Cisjordanie », connue comme la Judée-Samarie fait partie depuis des milliers d’années de l’ancienne patrie du peuple juif et du judaïsme [2] – La Judée-Samarie a été rebaptisée ‘Cisjordanie’ par les Jordaniens en 1950.
 La seule fois où les juifs ont été interdits de vivre en Judée-Samarie malgré plusieurs millénaires de présence, fût entre les années 1949 et 1967, lorsque la Jordanie occupait illégalement la Judée-Samarie.
 Les localités juives construites sur la terre ancestrale du peuple juif couvrent environ 1.7% de la superficie de la Judée-Samarie
 Environ 75 à 80% des israéliens vivant en Judée-Samarie vivent à proximité ou le long des lignes qui séparent Israël de la « Cisjordanie » contrôlée illégalement par la Jordanie avant la guerre de 1967. Ces zones pourraient être facilement incluses sur le coté israélien en contrepartie d’un léger échange de terres.
 88% des arabes vivent sous administration palestinienne (AP) couvrant 40% de la Judée-Samarie. Israël administre actuellement 60% de la Judée-Samarie connue sous le nom de « Zone C ».Dans cette zone quasi vacante résident 2 % d’arabes et fait l’objet de négociations par étapes intermédiaires prévues par le processus d’Oslo.
 Aucune frontière internationalement reconnue n’a déjà séparé Israël de la Judée Samarie [3]. Si futures frontières il y a elles devront être négociées pour arriver à une paix durable entre les deux parties.
 Le nombre des localités juives en Judée-Samarie est restée la même depuis la signature des accords d’Oslo en 1993, les constructions supplémentaires le sont dans les localités existantes pour pallier à l’augmentation de la population.[4].
 Les efforts de l’Autorité palestinienne pour améliorer l’ordre public notamment grâce à l’aide israélienne et américaine a rendu possible la prospérité, et l’Autorité palestinienne a pu commencer à construire sa première ville à infrastructure planifiée-Rawabi.
 Jamais aucun état arabe et encore moins palestinien n’a jamais existé avant dans cette région, avant que les Etats-Unis, l’Europe et d’autres nations aient le souhait en créer un. Israël ne s’y oppose pas sous certaines conditions.
 1.3 millions de citoyens arabes israéliens vivent en sécurité et véritablement en paix en Israël. De la même manière les juifs devraient avoir la possibilité de vivre en sécurité dans n’importe quel pays arabe, que ce soit en Arabie Saoudite, en Syrie ou tout autre pays arabo-musulman ainsi que dans le futur état proposé [5]


[1] Nous parlons ici des populations juives arabes jusqu’ »à la moitié du 19 siècle. L’arrivée des pionniers bâtisseurs a entrainé une immigration massive d’arabes venant des pays alentours qui aujourd’hui demandent à être reconnus comme autochtones
[2)Berceau et terres ancestrales du peuple Juif n'ayant jamais eu aucune autre souveraineté nationale, mais cependant envahis à plusieurs reprises depuis l'expulsion des Juifs par les Romains, par les Byzantins, les Croisés, les Ottomans, le Mandat britannique, et durant les dernières périodes l'immigration massive d'arabes des pays voisins profitant la manne sioniste.
[3]La propagande et la désinformation utilisent en méconnaissance du dossier le terme de frontières de 1967
[4] Augmentation naturelle de la population juive dans les implantations existantes, que l’on fustige comme une volonté de colonisation de la part des israéliens et qui d’après le discours de certains serait illégale on ne parle pourtant jamais de colonisation « palestinienne » dans ces territoires disputés soumis à l’accord de négociations alors que la population musulmane a une croissance trois fois supérieure, et construit de nombreuses unités d’habitation contrevenant ainsi donc pour parler le même langage à ces mêmes accords d’Oslo.
[5]A plusieurs reprises l’Autorité palestinienne a émis le souhait d’un futur « état palestinien » exempt de toute présence juive ‘judenrein » qu’elle soit civile et militaire comme à Gaza par exemple ou encore comme dans la majorité des pays arabo-musulmans